
Damien CASTELAIN (2014-2025) : petit corrompu parti trop tard
Damien CASTELAIN aura donc quasiment effectué l’intégralité de son mandat de Président de la Métropole Européenne de Lille, et ce malgré les accusations de corruption qui l’entachent depuis 2017. Ces accusations ne l’ont pas empêché d’être réélu en 2020, grâce au soutien du Parti Socialiste, Martine Aubry en tête.
L’œuvre la plus marquante du règne Castelain pour le tissu urbain restera donc sa terrasse en pierres bleues : un fabuleux chantier de 17 000 euros, offert par une filiale du bétonneur Eiffage dans le cadre de l’attribution du chantier du Grand Stade. L’œuvre la plus marquante pour le soutien du niveau de vie des plus précaires, elle, aura été le détournement de 11 000 euros pour des nuits d’hôtels, des spas et des produits de luxe.
Castelain et ses alliés socialistes n’auront été rien d’autre que les valets de la bourgeoisie métropolitaine. Au cours de son mandat, l’accent n’a été mis que sur des événements servant à faire rayonner le territoire de façon éphémère, mais qui ne profitent aux habitants ni à moyen, ni à court terme. Les métropolitains auraient largement pu se passer de Jeux Olympiques ou de Tour de France si, à la place, les transports en commun ne s’étaient pas dégradés malgré l’augmentation des prix. Si, à la place, le coût du logement ne s’était pas envolé. Si l’eau courante avait été de qualité, plutôt que empoisonnée au PFAS. Si le territoire n’avait pas été encore plus bétonné et l’air pollué.
Martine Aubry a de son côté couvert le délit de fuite de son mari. Celui-ci a blessé, avec son gros SUV de bourgeois, une automobiliste. L’affaire a été classée sans suite…Cette affaire est une Nouvelle preuve du sentiment d’impunité du Parti socialiste et des ses alliés, corrompus du nord au pas de calais. Des caisses vidées de la mairie d’Henin Beaumont a l’affaire du sang contaminé, plus jamais PS !
L’œuvre de Castelain et Aubry montre à elle seule pourquoi il nous faut passer à l’offensive :
• Face aux dépenses de luxe et à l’impunité des élus, nous répondons : révocation.
• Face aux décisions allant à l’encontre des besoins des habitants, nous répondons : mandats impératifs.
• Face aux projets inutiles et nuisibles, nous répondons : démocratie directe habitante.
• Face à l’explosion des prix d’accès aux réseaux communs, nous répondons : régies publiques.
• Face à la bureaucratie opaque métropolitaine, nous répondons confédération de communes.
Il n’y a pas d’alternative passons à l’offensive. Pour commune et une métropole verte, démocratique et sociale.



